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La Commission d’examen des plaintes concernant la police militaire du Canada (CPPM) est un organisme fédéral quasi judiciaire, constitué par le Parlement canadien en vertu de la Loi sur la Défense nationale. Indépendante du Ministère de la Défense nationale et des Forces armées canadiennes, elle a été créé pour examiner les plaintes concernant la police militaire et faire enquête sur ces dernières avec objectivité et équité.Les membres de la CPPM sont chargés d’examiner et d’enquêter sur les plaintes concernant la conduite des membres de la police militaire dans l'exercice de leurs fonctions policières et sur les plaintes des membres de la police militaire au sujet d'ingérence inappropriée dans leurs enquêtes, et de préparer des rapports avec des conclusions et des recommandations concernant ces plaintes. Les membres peuvent également être désignés par le président pour tenir des audiences publiques sur les plaintes, soit individuellement, soit avec d’autres membres. Les membres peuvent également se voir confier d'autres tâches liées au fonctionnement de laCPPM, par le Président, y compris la participation au programme de sensibilisation de la CPPM, et la fonction du président pendant les absences.Les membres à temps partiel de la Commission travaillent selon les besoins à l’accomplissement de deux activités principales; agir à titre de décideur sur les dossiers de plaintes délégués par le président et faire des présentations de sensibilisation. En règle générale, un membre à temps partiel travaille environ 2 à 5 jours par mois selon le nombre de dossiers attribués. Cela peut augmenter si le membre à temps partiel préside une audience d’intérêt public.Lieu du poste : Les bureaux de la CPPM sont situés dans la région de la capitale nationale; toutefois, les membres nommés à temps partiel peuvent télé-travailler dans une certaine mesure à partir d’autres localités, à condition que des dispositions appropriées pour le traitement des renseignements sensibles puissent être prises. Un certain nombre de déplacements dans la région de la capitale nationale et dans d’autres endroits au Canada seront néanmoins nécessaires.
Le gouvernement du Canada tiendra compte du bilinguisme et de la diversité des postulants. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre profil en ligne votre compréhension de la langue seconde officielle et votre capacité à vous exprimer dans cette langue. Une préférence pourrait être accordée aux individus qui appartiennent à l'un des groupes suivants : femmes, Autochtones, personnes handicapées et de minorités visibles.
La maîtrise des deux langues officielles serait préférable.
Un lien à cette annonce paraîtra dans la Gazette du Canada afin de permettre au gouverneur en conseil de trouver des personnes qualifiées pour ce poste. Cependant, le recrutement ne se limite pas à cette seule façon de procéder. Un bassin de candidats qualifiés pourrait être établi et utilisé pour des possibilités de nomination semblables.
L'examen des demandes débutera le 26 novembre 2020. Les candidats devraient soumettre leur demande en ligne sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil. Nous encourageons fortement les candidats à présenter leur demande au plus tard à cette date. Les demandes soumises par la suite seront conservées et pourraient être examinées jusqu'à ce qu'il y ait nomination au poste. Votre lettre d'accompagnement doit être adressée à la Directrice adjointe des processus de sélection, Secrétariat du personnel supérieur, Bureau du Conseil privé, et devrait être envoyée par l'entremise de l'application en ligne seulement.Des instructions sur la façon de présenter une demande de candidature pour une possibilité de nomination se retrouvent sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil.
Vous ne recevrez pas de réponse. Pour toute question, contactez-nous.