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Le Tribunal canadien des droits de la personne est un tribunal administratif quasi judiciaire mandaté par la Loi canadienne sur les droits de la personne pour instruire les plaintes de discrimination dans la sphère de compétence fédérale (institutions du gouvernement fédéral et des sociétés d'État, les gouvernements des Premières nations, des banques, compagnies aériennes, les radiodiffuseurs, le transport interprovincial et les entreprises de communication). Le Tribunal décide si une personne ou un organisme a commis un acte discriminatoire aux termes de la Loi.La Loi canadienne sur les droits de la personne a pour objectif de protéger les personnes contre la discrimination. Elle énonce que tous les Canadiens ont droit à l’égalité des chances, au traitement équitable et à un environnement exempt de discrimination. Elle interdit les actes discriminatoires fondés sur au moins l’un des 13 motifs de distinction illicites suivants: la race, l'origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, l'âge, le sexe, l'orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre, l'état matrimonial, la situation de famille, le handicap ou la condamnation pour une infraction pour laquelle un pardon a été accordé ou à l'égard duquel une suspension du casier a été ordonnée. La législation identifie des pratiques spécifiques discriminatoires dans les domaines de l'emploi, la fourniture de biens et services et la fourniture de logements résidentiels et commerciaux.Les membres du Tribunal canadien des droits de la personne exercent une médiation et instruise sur les plaintes qui lui ont été soumises pour instruction par la Commission canadienne des droits de la personne. Les membres sont tenus de présider les audiences de manière impartiale à travers le Canada, et de donner à toutes les parties la possibilité pleine et entière de comparaître, de présenter des éléments de preuves et faire des représentations.À la conclusion de l'instruction, les membres décident si une pratique discriminatoire a eu lieu, et si oui, ils déterminent les mesures de redressement appropriées.Les membres du Tribunal canadien des droits de la personne sont également habilités à présider les tribunaux de révision constitués en vertu de la Loi sur l'équité en matière d’emploi.
Le gouvernement du Canada tiendra compte du bilinguisme et de la diversité des postulants. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre profil en ligne votre compréhension de la langue seconde officielle et votre capacité à vous exprimer dans cette langue. Une préférence pourrait être accordée aux individus qui appartiennent à l'un des groupes suivants : femmes, Autochtones, personnes handicapées et de minorités visibles.
La maîtrise des deux langues officielles serait préférable.
Un lien à cette annonce paraîtra dans la Gazette du Canada afin de permettre au gouverneur en conseil de trouver des personnes qualifiées pour ce poste. Cependant, le recrutement ne se limite pas à cette seule façon de procéder. Un bassin de candidats qualifiés pourrait être établi et utilisé pour des possibilités de nomination semblables.
L'examen des demandes débutera le 30 juin 2020. Les candidats doivent soumettre leur demande en ligne sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil. Les candidats doivent indiquer sur leur demande la province ou le territoire qu’ils souhaitent représenter. Votre lettre d’accompagnement devrait être adressée à la Directrice adjointe des processus de sélection, Secrétariat du personnel supérieur, Bureau du Conseil privé, et devrait être envoyée par l’entremise de l’application en ligne seulement.Des instructions sur la façon de présenter une demande de candidature pour une possibilité de nomination se retrouvent sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil.
Vous ne recevrez pas de réponse. Pour toute question, contactez-nous.