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La Commission de la fiscalité des premières nations administre et réglemente le régime fiscal établi en vertu de la Loi sur la gestion financière des premières nations, y compris en approuvant les textes législatifs sur les recettes locales, en élaborant des exemples de lois, en réglant des différends, en concevant et en fournissant une formation certifiée et en conciliant les intérêts des gouvernements et des contribuables des Premières Nations. Elle s’emploie aussi à mieux faire comprendre les systèmes d’impôt foncier des Premières Nations, en plus d’aider celles-ci à exercer leur compétence en la matière. De plus, conformément à un protocole d’entente avec la ministre des Relations Couronne-Autochtones, la Commission joue un rôle consultatif pour aider la ministre à exercer ses pouvoirs en vertu de l’article 83 de la Loi sur les Indiens.Le Président de la Commission de la fiscalité des premières nations exerce un leadership à la tête de la Commission et lui fournit des orientations stratégiques en matière de fonctionnement et de politiques, en s’assurant qu’elle remplit son mandat juridique et réglementaire en vertu de la Loi. Le président dirige l’élaboration de la vision d’avenir visant à étendre les compétences et les régimes d’imposition foncière et à développer les relations des Premières Nations en ce qui concerne la fiscalité. À cette fin, il est chargé, entre autres, de concevoir et de proposer une structure, un modèle de prise de décision et une infrastructure de gestion efficaces pour soutenir les régimes d’impôt foncier des Premières Nations, et aider à leur bon fonctionnement. Par ailleurs, à titre de membre principal de la Commission, il dirige l’élaboration et l’application d’approches et de processus efficaces en vue de l’approbation rapide des textes législatifs sur les recettes locales des Premières Nations. Il supervise aussi la création des normes et des procédures nécessaires à l’application de ces textes législatifs, en plus de résoudre les plaintes par des moyens officiels et officieux. Enfin, il encourage et favorise l’établissement de régimes d’impôt foncier justes et équitables qui soient les plus avantageux possible pour les Premières Nations et leurs contribuables.
Le gouvernement du Canada tiendra compte du bilinguisme et de la diversité des postulants. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre profil en ligne votre compréhension de la langue seconde officielle et votre capacité à vous exprimer dans cette langue. Une préférence pourrait être accordée aux individus qui appartiennent à l'un des groupes suivants : femmes, Autochtones, personnes handicapées et de minorités visibles.
La maîtrise des deux langues officielles serait préférable.
Un lien à cette annonce paraîtra dans la Gazette du Canada afin de permettre au gouverneur en conseil de trouver des personnes qualifiées pour ce poste. Cependant, le recrutement ne se limite pas à cette seule façon de procéder. Un bassin de candidats qualifiés pourrait être établi et utilisé pour des possibilités de nomination semblables.
L'examen des demandes débutera le 25 janvier 2019. Les candidats doivent soumettre leur demande en ligne sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil. Nous encourageons fortement les candidats à présenter leur demande au plus tard à la date indiquée ci-dessus. Les demandes soumises par la suite seront conservées et pourraient être examinées jusqu’à ce qu’il y ait nomination au poste. Votre lettre d’accompagnement doit être adressée à la Directrice adjointe des processus de sélection, Secrétariat du personnel supérieur, Bureau du Conseil privé, et devrait être envoyée par l’entremise de l’application en ligne seulement.Des instructions sur la façon de présenter une demande de candidature pour une possibilité de nomination se retrouvent sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil.
Vous ne recevrez pas de réponse. Pour toute question, contactez-nous.