Administrateur, Banque de développement du Canada

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Portefeuille :
Promotion des exportations, du Commerce international et du Développement économique
Titre du poste :
Administrateur
Type :
Temps plein ou temps partiel
Taux journalier :
410 $ - 485 $
Honoraire annuel :
5 300 $ - 6 200 $
Date de clôture :
Le 31 janvier 2019
Numéro de la possibilité de nomination :
J1118-0235

La Banque de développement du Canada a pour mission de soutenir les entrepreneurs canadiens, conformément à son ambition de jouer un rôle de leader pour faire en sorte que les entrepreneurs canadiens soient les plus concurrentiels au monde. Elle aide à créer et à développer de solides petites et moyennes entreprises canadiennes à l’aide de services d’investissement, de financement et de services-conseils. Pour relever les défis auxquels font actuellement face les petites et moyennes entreprises canadiennes, la Banque de développement du Canada structure son approche selon trois objectifs stratégiques : accroître l’accès aux capitaux et aux conseils pour les entrepreneurs; accélérer l’innovation, la croissance et la productivité pour les entrepreneurs ciblés et améliorer l’écosystème entrepreneurial canadien.

La Banque de développement du Canada croit fermement en la diversité et fait la promotion de l’inclusivité en offrant partout au Canada des produits et des services qui tiennent compte des besoins de tous les entrepreneurs, y compris les entrepreneurs qui sont des femmes, des jeunes, des immigrants, des Canadiens autochtones, du Nord ou de régions rurales.

Depuis 1944, sous forme de différentes sociétés, la Banque de développement du Canada est la banque de développement du Canada.


  • La Banque de développement du Canada soutient l’entrepreneuriat canadien de façon financièrement viable. La Banque de développement du Canada est une institution financière d’envergure qui s’est engagée à investir 31 milliards de dollars dans les petites et moyennes entreprises et qui a déclaré et versé près de 550 millions de dollars en dividendes au gouvernement du Canada depuis 1997. Elle sert de façon directe ou indirecte environ 56 000 entrepreneurs à toutes les étapes de leur développement par l’intermédiaire de Banque de développement du Canada Financement, de Banque de développement du Canada Capital et de Banque de développement du Canada Services-conseils, dans 123 centres d’affaires répartis dans toutes les régions du pays.

  • Banque de développement du Canada Financement appuie les entrepreneurs du démarrage à l’expansion, tout au long des cycles économiques, en proposant, directement ou en tirant parti de partenariats, diverses options de financement, ce qui inclut les prêts à terme, le financement syndiqué, le financement subordonné et la titrisation.

  • Banque de développement du Canada Capital fournit du capital de risque aux nouvelles entreprises canadiennes du domaine de la technologie et de l’innovation afin de les aider à devenir des entreprises commerciales tournées vers le monde et axées sur la croissance. Cette unité opérationnelle offre également du capital-investissement aux entreprises bien établies.

  • Banque de développement du Canada Services-conseils offre aux entrepreneurs des services de qualité sous forme de consultation, de conseils, de formation et de réseautage pour soutenir leur croissance et leur compétitivité.


Le conseil d’administration assume la responsabilité de la gérance de la Banque de développement du Canada, rend compte à l’actionnaire et relève du Parlement par l’intermédiaire du ministre de la Petite Entreprise et de la Promotion des exportations.

Le conseil professe une philosophie d’intégrité et d’éthique et établit des pratiques exemplaires de gouvernance d’entreprise. En outre, il :

  • approuve l’orientation stratégique et le Plan d’entreprise de la Banque de développement du Canada;

  • approuve le cadre de gestion des risques, les modèles d’analyse des tests de tension, les limites en matière de risque et les plans d’action pour permettre à la Banque de développement du Canada de cerner les risques émergents, de gérer les principaux risques et de maintenir une culture du risque appropriée;

  • assure l’intégrité des états financiers, des prévisions et des résultats des vérifications;

  • passe en revue les contrôles internes et les systèmes d’information de gestion de la Banque de développement du Canada;

  • exerce une surveillance à l’égard du président et chef de la direction, de ses objectifs et de son rendement.



Les administrateurs qui président un comité ou qui siègent à un comité transactionnel reçoivent des honoraires annuels supplémentaires de l’ordre de 1 000 $ à 1 500 $.

Diversité et Langues officelles

Le gouvernement du Canada tiendra compte du bilinguisme et de la diversité des postulants. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre profil en ligne votre compréhension de la langue seconde officielle et votre capacité à vous exprimer dans cette langue. Une préférence pourrait être accordée aux individus qui appartiennent à l'un des groupes suivants : femmes, Autochtones, personnes handicapées et de minorités visibles.

Afin que votre candidature soit prise en considération, assurez-vous que les renseignements fournis dans votre curriculum vitrae et votre lettre de présentation démontrent clairement comment vous répondez à chacun des critères suivants :

Études et expérience


  • Diplôme d’une université reconnue dans un domaine pertinent, ou un ensemble acceptable d’études, de formation relative au poste et d’expérience équivalentes ;

  • Expérience à titre de membre du conseil d’administration d’une organisation du secteur public ou privé ou à titre de cadre supérieur devant rendre des comptes aux parties prenantes du secteur public ou privé ;

  • Expérience dans l’instauration de principes modernes de gouvernance et de pratiques exemplaires dans une culture d’imputabilité et de transparence ;

  • Expérience dans au moins un des domaines suivants :

    • Risque. Poste de direction en gestion du risque dans une institution financière canadienne ou expertise solide du risque comme président ou membre d’un comité de gestion du risque au sein d’une grande organisation financière, expertise touchant notamment les cadres de gestion du risque et les tests de tension ;

    • Capital de risque. Responsabilités de niveau supérieur à titre de professionnel spécialisé dans le capital-investissement, le capital de risque ou le financement mezzanine dans les secteurs de la technologie, des sciences de la vie, de l’énergie ou des technologies propres ;

    • Ressources humaines. Responsable en chef dans une grande organisation chargée de la mise en œuvre de stratégies et de pratiques exemplaires de ressources humaines en lien avec la culture d’entreprise, l’embauche, la formation et la fidélisation de ressources appropriées, ainsi que la planification de la relève, la rémunération et les fonds de pension ;

    • Entrepreneuriat. Propriétaire ou exploitant d’une petite ou moyenne entreprise exposée à des activités d’exportation ;

    • Technologie. Supervision d’importants projets de TI, des contrôles internes, des processus de gouvernance des données et de cybersécurité, et compréhension de l’innovation, de l’économie numérique et des technologiques financières ;



  • Expérience dans l’autonomisation économique de groupes sous-représentés comme les femmes, les néo-Canadiens et les peuples autochtones, considérée comme un atout ; et

  • Expérience dans l’aide à l’expansion des entreprises canadiennes, en particulier dans les marchés d’Europe et de l’Asie-Pacifique, considérée comme un atout.

Si votre candidature est retenue pour un examen approfondi, les critères suivants seront évalués :

Connaissances, compétences et aptitudes


  • Connaissance du mandat et des activités de la Banque de développement du Canada, ainsi que du cadre législatif dans lequel elle exerce ses activités ;

  • Connaissance des principes et des pratiques d’une bonne gouvernance d’entreprise et d’une gestion efficace ;

  • Connaissance des rôles et responsabilités du président et des membres du conseil d’administration ainsi que du président/chef de la direction d’une société ;

  • Bonne connaissance du secteur des affaires canadien – des principaux chefs de file, des tendances émergentes et des forces de la concurrence ainsi que des défis et des occasions pour les petites et moyennes entreprises ;

  • Connaissance des efforts déployés par les entreprises au Canada et à l’étranger pour assurer leur démarrage et leur expansion, considérée comme un atout ;

  • Connaissance en mobilisation de capitaux au Canada ou à l’étranger, considérée comme un atout ;

  • Capacité démontrée à anticiper, évaluer et gérer les risques opérationnels et d’affaires, en particulier ceux qui sont liés à des transactions financières complexes, à l’adoption d’une technologie, à l’innovation et à la responsabilité sociale d’entreprise ;

  • Capacité à établir et à entretenir des relations de travail efficaces avec les autres membres du conseil ainsi qu’avec les partenaires et les parties prenantes de la Banque de développement du Canada ;

  • Capacité à faire preuve de jugement et solides compétences en prise de décision permettant d’analyser et de conclure des contrats et des affaires complexes ;

  • Capacité à faire preuve d’un sens aigu de l’éthique et d’une grande intégrité dans l’exécution du mandat de la Banque de développement du Canada et la promotion des valeurs de l’organisation ; et

  • Expertise financière.

Exigences linguistiques

La maîtrise des deux langues officielles serait préférable.

Si votre candidature passe à l'étape suivant du processus, nous communiquerons avec vos répondants afin de valider quie vous rencontrez les critères des sélection ci-haut mentionnés et que vous possédez les qualités personnelles suivantes:


  • Bon jugement, tact et diplomatie

  • Normes éthiques élevées

  • Compétences supérieures en analyse

  • Intégrité et responsabilité

  • Leadership stratégique et innovateur

  • Intelligence émotionnelle

  • Fiabilité et collégialité

Facteurs d’admissibilité et conditions d’emploi

• Les personnes nommées doivent se conformer aux Lignes directrices en matière d’éthique et d’activités politiques à l’intention des titulaires de charge publique tout au long de leur mandat comme terme et condition d’emploi. Vous pouvez consulter ces lignes directrices sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil, sous « Formulaires et documents de référence ».

• Toutes les personnes nommées seront assujetties à la Loi sur les conflits d'intérêts. De plus, les titulaires de charge publique nommés à temps plein doivent soumettre au Commissariat aux conflits d’intérêts et à l’éthique, dans les 60 jours qui suivent la date de leur nomination, un rapport confidentiel dans lequel ils déclarent leurs biens et exigibilités ainsi que leurs activités extérieures. Pour plus d’information, veuillez consulter le site Web du Commissariat aux conflits d’intérêts et à l’éthique.

  • Les personnes nommées doivent observer les normes de probité les plus élevées et adopter en milieu de travail des comportements assurant le respect, l’égalité et la dignité de toutes les personnes avec lesquelles elles interagissent au travail, en tout temps. Le Code de valeurs et d'éthique du secteur public décrit les valeurs et comportements attendus des fonctionnaires, y compris la valorisation de la diversité et la création de milieux de travail exempts de harcèlement et de discrimination. Les personnes nommées par décret doivent respecter et défendre ces valeurs et principes d’une manière positive et active.

  • Une personne ne peut être nommée administrateur ni être admise à exercer ces fonctions si elle a) n’est ni un citoyen canadien ni un résident permanent au sens du paragraphe 2(1) de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés; b) est citoyen canadien, mais ne réside pas ordinairement au Canada; c) est un résident permanent au sens du paragraphe 2(1) de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés et a résidé au Canada pendant plus d’un an après la date à laquelle elle a acquis pour la première fois le droit de demander la citoyenneté canadienne; d) est sénateur, député à la Chambre des communes ou membre de la législature d’une province; ou e) est employée dans l’administration publique d’une province (statutaire).

  • Vous êtes prêt à voyager à travers le Canada, au besoin.

  • Vous vous engagez à consacrer jusqu’à 24 jours par année aux affaires du conseil.

Un lien à cette annonce paraîtra dans la Gazette du Canada afin de permettre au gouverneur en conseil de trouver des personnes qualifiées pour ce poste. Cependant, le recrutement ne se limite pas à cette seule façon de procéder. Un bassin de candidats qualifiés pourrait être établi et utilisé pour des possibilités de nomination semblables.

Comment postuler

Les candidats doivent soumettre leur demande en ligne d’ici 23 h 59 heure de l'est le 31 janvier 2019 sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil. Les candidats doivent indiquer sur leur demande la province ou le territoire qu’ils souhaitent représenter. Votre lettre d’accompagnement devrait être adressée à la Directrice adjointe des processus de sélection, Secrétariat du personnel supérieur, Bureau du Conseil privé, et devrait être envoyée par l’entremise de l’application en ligne seulement.

Des instructions sur la façon de présenter une demande de candidature pour une possibilité de nomination se retrouvent sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil.

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