Pour afficher cette page vous avez besoin d'un navigateur avec Javascript.
**Une nomination à ces postes ne sera effectuée si le projet de loi portant création la Régie canadienne de l'énergie est approuvé par le Parlement et reçoit la sanction royale.Avec l’introduction du projet de loi C-69, le gouvernement propose d’abroger la Loi sur l’Office national de l’énergie et de créer la Régie canadienne de l’énergie. Située à Calgary, en Alberta, la Régie canadienne de l’énergie remplacera l’Office national de l’énergie et sera un organisme indépendant de régulation de tout le cycle de vie de l’énergie, responsable des pipelines régulés par le gouvernement fédéral et des lignes de transport d’électricité, de l’exploitation et du commerce des produits énergétiques.En vertu de la loi proposée, la Régie canadienne de l’énergie comprendrait une commission composée d’au plus sept commissaires à temps plein, dont un commissaire en chef et un commissaire en chef adjoint. Elle pourrait également être complétée par des commissaires à temps partiel. En vertu de la loi proposée, au moins l’un des postes de commissaire à temps plein devrait être comblé par un autochtone. Tous les commissaires.devraient être nommés par le gouverneur en conseil.La commission aurait pour rôle principal de s’acquitter des fonctions d’arbitrage. La commission ferait des recommandations au gouverneur en conseil sur des projets nécessitant l’approbation de ce dernier, et prend des décisions indépendantes concernant l’approbation, la dérogation, la suspension et le retrait de pipelines, de lignes de transport d’électricité et de sites extracôtiers d’exploitation d’énergie renouvelable. Elle veillerait à ce que la réglementation fédérale des pipelines, des lignes de transport d’électricité, des sites d’exploitation d’énergie et du commerce de l’énergie contribue à la sécurité des Canadiens, à la protection de l’environnement, et au bon rendement de l’infrastructure et des marchés énergétiques, tout en respectant les droits et intérêts des entités concernées par les décisions et recommandations de la Régie. Cela comprendrait l’exercice ses attributions de manière à respecter les engagements du gouvernement du Canada à l’égard des droits des peuples autochtones du Canada.La commission aurait l’ensemble des attributions, droits et privilèges dévolus à une cour supérieure d’archives en ce qui a trait à toutes les questions relevant de sa compétence, notamment la comparution, la prestation de serment et l’audition des témoins, la production et l’inspection des documents, l’exécution de ses ordonnances, ainsi que la visite des lieux faisant l’objet d’une inspection. Ses décisions pourraient être l’objet d’un contrôle judiciaire. Le commissaire aurait le pouvoir de prendre les décisions nécessaires à l’exécution du mandat de la commission détaillé ci-dessus.Niveau du poste : GCQ-6Échelle salariale du poste à temps plein : 183 600 $ - 216 000 $ Taux journalier du poste à temps partiel : 980 $ - 1 080 $ Le commissaire en chef adjoint serait chargé d’agir au nom du commissaire en chef selon les besoins, et participerait aux processus de prise de décisions de la commission. Le commissaire en chef adjoint soutiendrait les efforts du commissaire en chef visant à renforcer la communication avec le conseil d’administration et le président-directeur général pour s’assurer que la commission s’acquitte de son mandat et atteint ses objectifs.Niveau du poste : GCQ-7Échelle salariale du poste à temps plein : 211 300 $ - 248 500 $ Le commissaire en chef serait chargé de gérer les activités et les affaires de la commission, de répartir les travaux de la commission entre les commissaires et de former des groupes dédiés à l’exercice des attributions, des obligations et des fonctions de la commission dans toutes les affaires dont elle est saisie. Niveau du poste : GCQ-8Échelle salariale du poste à temps plein : 242 700 $ - 285 500 $
Le gouvernement du Canada tiendra compte du bilinguisme et de la diversité des postulants. Par conséquent, nous vous encourageons à indiquer dans votre profil en ligne votre compréhension de la langue seconde officielle et votre capacité à vous exprimer dans cette langue. Une préférence pourrait être accordée aux individus qui appartiennent à l'un des groupes suivants : femmes, Autochtones, personnes handicapées et de minorités visibles.
La maîtrise des deux langues officielles serait préférable. Veuillez indiquer dans votre dossier en ligne votre capacité à parler et à comprendre une autre langue, comme une langue autochtone par exemple.
Un lien à cette annonce paraîtra dans la Gazette du Canada afin de permettre au gouverneur en conseil de trouver des personnes qualifiées pour ce poste. Cependant, le recrutement ne se limite pas à cette seule façon de procéder. Un bassin de candidats qualifiés pourrait être établi et utilisé pour des possibilités de nomination semblables.
L'examen des demandes débutera le 18 février 2019. Les candidats doivent soumettre leur demande en ligne sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil. Nous encourageons fortement les candidats à présenter leur demande au plus tard à la date indiquée ci-dessus. Les demandes soumises par la suite seront conservées et pourraient être examinées jusqu’à ce qu’il y ait nomination au poste. Votre lettre d’accompagnement doit être adressée à la Directrice adjointe des processus de sélection, Secrétariat du personnel supérieur, Bureau du Conseil privé, et devrait être envoyée par l’entremise de l’application en ligne seulement.Des instructions sur la façon de présenter une demande de candidature pour une possibilité de nomination se retrouvent sur le site Web des nominations par le gouverneur en conseil.
Vous ne recevrez pas de réponse. Pour toute question, contactez-nous.